L'API (interface de programmation d'application) est une interface pour l'interaction entre différents logiciels, permettant aux applications de partager des données et des fonctions. Grâce à l'interface API, les applications peuvent accéder aux fonctions d'autres services ou modules, réalisant ainsi une interaction de données plus efficace.
Les problèmes de sécurité des interfaces API sont un défi important pour les développeurs. Un attaquant peut effectuer des opérations malveillantes via l'interface de l'API, telles que l'envoi de données de spam, l'interception et la transmission de données ou le lancement d'une attaque de déni de service (DDOS). Ces attaques peuvent entraîner une baisse des services d'API ou des violations de données. Par conséquent, assurer la sécurité de l'interface API est crucial.
La limitation du trafic est un moyen courant de protéger les interfaces API, ce qui évite principalement les attaques malveillantes en limitant le nombre de demandes par IP à l'interface API. En limitant la fréquence des demandes d'API, il peut effectivement empêcher les attaques telles que les attaques DDOS et la fissuration par force brute.
Voici un exemple de code pour la restriction du trafic basé sur le cadre Laravel:
Espace de noms AppHttpControllers; Utiliser illuminateHttpRequest; CLASSE APICALL Controller étend le contrôleur { // limite l'accès à l'API jusqu'à 20 fois par minute par IP Index des fonctions publiques (demande $ demande) { $ limit = 20; // Nombre limité de visites $ ExpiresInsecondes = 60; // période limitée (secondes) $ requêtes = app (ratelimiter :: class) -> limiter ('api') -> get ($ request-> ip ()); if ($ requêtes-> restant === 0) { Réponse de retour («Trop de tentatives», 429); } app (ratelimiter :: class) -> limiter ('api') -> hit ($ request-> ip (), $ expiresInseConds); // Exécuter la logique de l'API} }
Le code ci-dessus limite chaque adresse IP pour accéder à l'interface API jusqu'à 20 fois par minute. Si la limite est dépassée, le code d'état HTTP 429 sera renvoyé.
Les pare-feu sont une méthode de protection de sécurité couramment utilisée. Ils peuvent filtrer les demandes malveillantes et empêcher l'exploitation de vulnérabilités de sécurité telles que l'injection SQL et les attaques XSS. Dans la protection des interfaces API, le pare-feu peut bloquer efficacement l'accès IP non autorisé, améliorant ainsi la sécurité de l'API.
Voici un exemple d'un simple pare-feu basé sur la mise en œuvre de PHP:
$ allowing_ips = array ('192.168.0.1', '192.168.0.2'); // La liste IP a permis d'accéder à $ valid_request = false; foreach ($ allowing_ips as $ permed_ip) { $ ip = htmlSpecialChars ($ _ server ['Remote_addr']); if ($ ip == $ allowing_ip) { $ valid_request = true; casser; } } if (! $ valid_request) { En-tête ('http / 1.0 403 interdit'); sortie(); } // Exécuter la logique de l'API
Dans cet exemple, seules les adresses IP de la liste blanche peuvent accéder à l'interface de l'API, les demandes d'autres adresses IP seront refusées et une erreur interdite HTTP 403 sera renvoyée.
La protection de l'interface API contre les attaques malveillantes est cruciale. La limitation du trafic et les pare-feu sont des mesures de protection courantes. En limitant la fréquence de demande et en filtrant les adresses IP, la sécurité de l'interface API peut être efficacement améliorée. De plus, les développeurs doivent mettre à jour régulièrement la sécurité de l'interface API pour s'assurer que l'interface est toujours en protection optimale.